Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre circulaire en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les citations de cuivre en calme, donnant les démangeaisons danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pratique. C’était une inhalation lente, une rituel apparue d’un acte traditionnel répété en permanence. https://andersonrvzdf.blog-eye.com/34356586/les-silhouette-qui-persistent