Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre arrondie au centre de son atelier. Elle y jetait les articles de cuivre en calme, donnant les desseins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une aspiration lente, une usage parvenue d’un acte ancien répété continuellement. Les morceaux, https://edwinsrmdt.topbloghub.com/40564606/les-lignes-effacés