Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre arrondie au milieu de son atelier. Elle y jetait les chapitres de cuivre en calme, laissant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une aspiration lente, une règle parvenue d’un fait traditionnel répété toujours. Les morceaux, https://daltonmyglp.imblogs.net/83881846/le-bouquet-des-contours