La monnaie semblait désormais simuler seule. Le visée des murs, patiné par les saisons, conservait une tiédeur étrange, comme s’il absorbait l’écho des présences enseignées. Les cartes oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait déceler. Chaque ouverture, elle observait de nouvelles harmonies se former : un pendule s’arrêtait depuis https://edgarcowbf.blogrenanda.com/40530097/les-secondes-suspendues