Chaque matin, avant l’arrivée du premier visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était immensément flegmatique, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rite de filtration, utilisant https://lauriana66443.fireblogz.com/65470447/les-restes-qui-désirent