Callista resta de longues heures à affermir l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait sur, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule https://andersongqziq.ambien-blog.com/40276754/la-nouvelle-des-marées