Arthur resta figé sur la scène, l'attention particulier sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le calme du théâtre. Il n’y avait personne, nul mouvement, zéro brise assez forte pour imiter un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer solitaire, tels que s’il répondait à bien une visibilité imperceptible. https://andys344fat8.mdkblog.com/profile